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La réversibilité des bâtiments, levier de développement durable

Figurant au 6ᵉ rang des écoles de commerce au dernier classement de l’Etudiant, Skema a ouvert son nouveau campus aux portes de Suresnes à la rentrée de janvier 2021.
Une réalisation architecturale qui s’est appuyée sur l’ancien site du siège social d’Airbus pour transformer ces espaces de bureaux en un campus universitaire d’un nouveau type privilégiant la diversité des espaces d’apprentissage, de co-working, de détente et de brainstorming connectés pour répondre aux aspirations des étudiants des générations Z et au-delà. Ou la réversibilité en action by A26.

Plus que jamais les bâtiments doivent pourvoir évoluer et s’adapter à un contexte économique mouvant, une évolution des usages telle que celle initiée par la pandémie, une révolution technologique comme la digitalisation.

La conception initiale d’un immeuble ne favorise pas toujours une réversibilité efficace notamment en raison de systèmes constructifs contraignants. À l’inverse, c’est toute l’intelligence des structures telles que le concept « poteaux/poutres » que de permettre de libérer des surfaces et créer de grands plateaux ouverts. Ce système constructif permet une conception au sein de laquelle les possibles restent ouverts.

Spécialisée dans cette réversibilité des bâtiments, A26 vient de penser coup sur coup deux illustrations étonnantes de cette stratégie de réutilisation intelligente de l’existant : un centre de fitness dans une ancienne station-service mais surtout le tout nouveau campus de SKEMA, à Suresnes (92), déployé au sein de l’ancien siège d’Airbus conçu sur ce modèle poteaux/poutres.

« En profitant de cette disposition, nous avons même réussi à intégrer un amphithéâtre de 300 places dans un immeuble de bureaux », s’enthousiasme Marc Seifert associé d’A26. « Nos équipes, emmenées par Carole Houssin, Leslie Blain et Chama Mejbar, ont relevé le pari un peu fou de proposer des espaces très variés pouvant accueillir jusqu’à 1 500 étudiants là où les collaborateurs d’Airbus n’étaient que 600.

s’appuie sur la volonté de profiter de l’existant pour penser vertueusement le développement durable tout en réalisant un cadre de vie résolument nouveau pour des utilisateurs aux attentes et aux usages du bâtiment clairement différents. »

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